lundi, juillet 14, 2008

Mina Zerrouk, nous quitte à son tour

Photo El-Watan
Quelle question immense que la perte d’un être cher! La mort, quelles que soient nos croyances, n’est pas un problème, sinon pour ceux qui restent et qui doivent endurer la douleur de la séparation. Le problème, c’est quand le départ se pointe à un âge où l’on a encore tout à donner.
Il y a quelque temps, Merièm Bachtoubji nous quittait, précédée par Djamel Toualbi.
Le journalisme est une famille au sens entier du terme, lancée dans une même aventure des plus exaltantes, celle de délivrer la parole. Et dans une famille, quelles que soient les distances, les disputes, les incompréhensions, ça reste une famille. Un départ définitif est difficilement acceptable.
C’est affreux, certes.
C’est ainsi.
Le regard, qui se pose aujourd’hui sur l’existence, est un regard triste.
Bon voyage, Mina.
Liens:
El-Watan : Une pionnière de la presse algérienne s’en va
La Tribune : Mina, un sourire s’éclipse

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