lundi, février 19, 2018

Publication : La Reine Minouche

Page couverture


Depuis  un bon bout de temps, Samira Aït-Ouhamou traîne une histoire dans sa tête, celle de sa mère. Elle a déjà pris des notes, noirci du papier. Et, voilà bientôt un an, une belle rencontre au salon du livre d’Argenteuil, dans la banlieue parisienne. 

Elle y rencontre Geneviève Buono, auteure, poétesse et dramaturge. Elle lui parle de sa maman, de son histoire, des épreuves qu’elle a traversées.  Geneviève s’est montrée spontanément réceptive. 

De ces échanges va naître un livre, La reine Minouche, un récit de vie, que les Éditions Tangerine nights viennent de publier avec une préface de Nils Andersson.

Sur la page officielle Facebook du livre, Samira Aït-Ouhamou nous dit que celles et ceux qui habitaient ou habitent toujours Kouba, une banlieue d’Alger, reconnaîtront tante Yasmine que les intimes appelaient Minouche. Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas, ils ne tarderont pas à la découvrir au fil des pages du livre qui retrace sa vie.

La quatrième de couverture pose une interrogation : Mariée à seize ans, Yasmina doit accepter la domination de Mohand. Lorsqu’il la trahit, saura-t-elle enfin faire entendre sa voix ? 

Samira : J'ai écrit ces cahiers sur le dos de ma mère dont j'ai longtemps partagé le lit dans mon enfance...

Geneviève : Derrière une femme algérienne se dessine le portrait de ma mère, et peut être celui de toutes les femmes...

D’après une histoire vraie.

Geneviève Buono et Samira Aït-Ouhamou, La reine Minouche, Éditions Tangerine nights, Paris, 2018 142 pages.



Aucun commentaire:

Publier un commentaire