Page couverture |
Depuis un bon bout de temps, Samira Aït-Ouhamou
traîne une histoire dans sa tête, celle de sa mère. Elle a déjà pris des notes,
noirci du papier. Et, voilà bientôt un an, une belle rencontre au salon du
livre d’Argenteuil, dans la banlieue parisienne.
Elle y rencontre Geneviève
Buono, auteure, poétesse et dramaturge. Elle lui parle de sa maman, de son
histoire, des épreuves qu’elle a traversées.
Geneviève s’est montrée spontanément réceptive.
De ces échanges va
naître un livre, La reine Minouche, un récit de vie, que les Éditions Tangerine nights viennent de publier avec une préface de Nils Andersson.
Sur la page officielle Facebook du livre, Samira Aït-Ouhamou nous dit que celles et ceux qui
habitaient ou habitent toujours Kouba, une banlieue d’Alger, reconnaîtront
tante Yasmine que les intimes appelaient Minouche. Pour celles et ceux qui ne
la connaissent pas, ils ne tarderont pas à la découvrir au fil des pages du
livre qui retrace sa vie.
La quatrième
de couverture pose une interrogation : Mariée à seize ans, Yasmina doit
accepter la domination de Mohand. Lorsqu’il la trahit, saura-t-elle enfin faire
entendre sa voix ?
Samira : J'ai écrit ces cahiers sur le dos de ma mère dont j'ai longtemps partagé le lit dans mon enfance...
Geneviève : Derrière
une femme algérienne se dessine le portrait de ma mère, et peut être celui de
toutes les femmes...
D’après une
histoire vraie.
Geneviève Buono et Samira Aït-Ouhamou, La reine Minouche, Éditions Tangerine nights, Paris, 2018 142 pages.
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