mardi, août 23, 2016

Arezki Metref à Montréal pour parler de l’écriture de l’exil

Affiche de la conférence de
Arezki Metref
Écrire sa patrie en exil, écrire l’exil. C’est le thème que l’écrivain et journaliste Arezki Metref a choisi de nous entretenir le dimanche 4 septembre au Centre Saint-Pierre, à 13h.  

La montée de la violence en Algérie dans les années quatre-vingt dix a entrainé une guerre civile qui a fait plus de 200 000 morts. Durant cette tourmente, de nombreux Algériens ont  fuit le pays. On les retrouve aujourd'hui dispersés aux quatre coins du monde comme ici, au Canada, aux États-Unis, en France, en Belgique, en Espagne, en Australie et en Asie.

Comment, à partir d’un pays étranger ou d'une seconde patrie écrire l’Algérie et s’écrire ? C’est toute la problématique que nombre de journalistes et d'écrivains poussés vers le chemin de l'exil ont eu à résoudre.

Chacun a-t-il trouvé sa voie?

Arezki Metref évoquera une de ces voies qu'il a trouvée. 

La sienne.

Réfugié à Paris, il a vécu tous les moments de mobilisation en faveur d’une Algérie démocratique dans la capitale française. Il a mené en même temps une œuvre littéraire et journalistique.

Il témoigne de tout cela.

La conférence sera suivie d’une vente-dédicace de deux derniers ouvrages d’Arezki Metref : La traversée du somnambule (Éditions Koukou, Alger) et Le jour où Mme Carmel sortit son revolver  (Éditions Dalimen, Alger).

Pour aller plus loin : 

Le blog de Arezki Metref  sur le site du Nouvel Obs. 

Conférence : dimanche 4 septembre à 13:00
Centre saint Pierre
Entrée : 5 $

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