Affiche de la conférence de Arezki Metref |
Écrire sa patrie en exil, écrire l’exil. C’est le thème que l’écrivain
et journaliste Arezki Metref a choisi de nous entretenir le dimanche 4 septembre
au Centre Saint-Pierre, à 13h.
La montée de la violence en Algérie dans les années
quatre-vingt dix a entrainé une guerre civile qui a fait plus de 200 000 morts.
Durant cette tourmente, de nombreux Algériens ont fuit le pays. On les retrouve aujourd'hui dispersés aux quatre coins du monde comme ici, au Canada, aux États-Unis, en France,
en Belgique, en Espagne, en Australie et en Asie.
Comment, à partir d’un pays étranger ou d'une seconde patrie écrire l’Algérie et
s’écrire ? C’est toute la problématique que nombre de journalistes et d'écrivains poussés vers le chemin de l'exil ont eu à résoudre.
Chacun a-t-il trouvé sa voie?
Arezki Metref évoquera une de ces voies qu'il a trouvée.
La sienne.
Réfugié à Paris, il a vécu tous les moments de mobilisation
en faveur d’une Algérie démocratique dans la capitale française. Il a mené en
même temps une œuvre littéraire et journalistique.
Il témoigne de tout cela.
La conférence sera suivie d’une vente-dédicace de deux
derniers ouvrages d’Arezki Metref : La traversée du somnambule (Éditions
Koukou, Alger) et Le jour où Mme Carmel sortit son revolver (Éditions Dalimen, Alger).
Pour aller plus loin :
Pour aller plus loin :
Le blog de Arezki Metref sur le site du Nouvel Obs.
Conférence : dimanche 4 septembre à 13:00
Centre saint Pierre
Entrée : 5 $
Conférence : dimanche 4 septembre à 13:00
Centre saint Pierre
Entrée : 5 $
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