Doit-on se résigner à la fermeture d'un lieu culturel, en l'occurence, une librairie que l'on a fréquentée, aimée, un lieu incontournable pour les universitaires d'Alger? La fin d'une librairie est toujours une triste nouvelle. Quand c'est la Librairie des Beaux-Arts d'Alger, c'est encore plus grave.
Quel dommage! Quel dommage! Quel dommage pour mon Alger. Une librairie symbole! On devrait la baptiser Librairie Vincent et lui redonner un nouveau printemps pour que les générations se souviennent de ce qui s'est passé ici.
C'est terrible, cette décomposition de tout ce que nous avons aimé d'Alger!
Sans les repères, que serait Alger?
Une non-ville!
Je souhaite de tout coeur que les autorités retrouvent leurs esprits!
Notes :
Quel dommage! Quel dommage! Quel dommage pour mon Alger. Une librairie symbole! On devrait la baptiser Librairie Vincent et lui redonner un nouveau printemps pour que les générations se souviennent de ce qui s'est passé ici.
C'est terrible, cette décomposition de tout ce que nous avons aimé d'Alger!
Sans les repères, que serait Alger?
Une non-ville!
Je souhaite de tout coeur que les autorités retrouvent leurs esprits!
Notes :
- La Librairie des Beaux-Arts est située au 28, Rue Didouche Mourad, un haut lieu culturel qui avait accueilli en son temps, entre autres personnalités, Albert CAMUS, rédigeant les pages de l’Etranger.
- Pour écrire à Ouadi Boussad, éditeur-libraire, gérant pour le moment de la librairie : bhoussad@yahoo.fr
Aucun commentaire:
Publier un commentaire