« Les gens qui sont touchés par le phénomène de disparition veulent connaître la vérité, ils réclament et veulent venir à la barre pour qu’ils puissent témoigner. Ils ont besoin de savoir ce qui est arrivé à leur proche afin de faire le deuil. »
Daho Djerbal
Chercheur et professeur d'histoire à l'Université d'Alger.
Qui s'opposerait à une telle revendication légitime et qui concerne chacun de nous? La mémoire doit faire son travail de remémoration. Il faut bien un jour, faire le deuil des traumatismes que l'Algérie a vécu. Il y a un travail à faire en ce sens. On ne peut l'occulter.
Lien :
El-Watan : Interdiction d’un colloque sur la mémoire et la réparation, 18 juillet 2009
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